PALM

PAL de février

Et voilà un nouveau rendez-vous où je vous présente les livres que j’espère lire d’ici la fin de ce (court) mois :
Belle époque, Elizabeth Ross => chronique ici
« Lorsque Maude Pichon s’enfuit de sa Bretagne natale pour échapper à un mariage dont elle ne veut pas, elle monte à Paris, ville-lumière en ébullition à la veille de l’exposition universelle de 1889. Hélas, ses illusions romantiques s’y évanouissent aussi rapidement que ses maigres économies. Elle est désespérément à la recherche d’un emploi quand elle tombe sur une petite annonce inhabituelle : « On demande de jeunes filles laides pour faire un ouvrage facile. » L’Agence Durandeau propose en effet à ses clients un service unique en son genre : le repoussoir. Son slogan ? « Louez un faire-valoir, vous en deviendrez d’emblée plus attirante. » Étranglée par la misère, Maude postule… »

Charlie et la chocolaterie, Roald Dahl => chronique ici
« Charlie est un petit garçon qui vit avec son papa et sa maman, mais aussi avec ses quatre grands-parents. Tout ce monde est entassé dans deux pièces seulement car la famille de Charlie est très pauvre. Lorsque son papa perd son travail, la situation devient dramatique, ils meurent presque de faim. Mais dans la ville où ils demeurent, il y a une mystérieuse chocolaterie : nul n’y entre ni n’en sort jamais. Son propriétaire, Mr Wonka, lance un grand concours : les cinq gagnants pourront visiter l’usine et gagner des sucreries pour toute leur vie. Mais les enfants mal élevés doivent se méfier : ils seront punis par où ils auront péché.« 

Charlie et le grand ascenseur de verre, Roald Dahl => chronique ici
« Charlie a gagné la fabuleuse chocolaterie de Willy Wonka, qu’il survole maintenant à bord d’un extraordinaire engin, le grand ascenseur de verre, en compagnie de toute sa famille. Mais une fausse manœuvre projette l’ascenseur dans l’espace. Un espace qu’ils découvrent peuplé d’être fantastiques et monstrueux, les Kpoux Vernicieux, terreurs de l’univers interstellaire, contre lesquels ils vont livrer une terrible bataille. »

Long John Silver, Bjorn Larsson => chronique ici
« Long John Silver, le pirate à la jambe de bois qui, après avoir pris la tête de la mutinerie, disparaissait à la fin de L’île au Trésor, refait surface à Madagascar où la police anglaise l’a localisé.

Il prend la plume pour écrire ses mémoires et fournir à Daniel Defoe de la documentation pour son Histoire de la piraterie. Il s’y dépeint comme un homme de liberté: c’est par révolte contre les injustices de l’ordre établi qu’il est devenu hors-la-loi, après avoir été enrôlé de force par des capitaines autoritaires et brutaux. De même sera-t-il amené à s’insurger contre la traite des Noirs. »


La voix du couteau/Le cercle de la flèche/La guerre du bruit, Patrick Ness
« C’est l’année de ses treize ans et, dans un mois, Todd Hewitt va devenir un homme. Il est le dernier garçon de Prentissville. Cette ville de Nouveau Monde est uniquement peuplée d’hommes. Depuis longtemps, toutes les femmes et les enfants ont disparu. A Nouveau Monde, chacun peut entendre les pensées des autres, qui circulent en un brouhaha incessant, le Bruit. Nul ne peut échapper au Bruit, nulle part, jamais… »

New Victoria, Lia Habel => chronique ici
« New Victoria : une civilisation high tech obéissant aux codes et aux modes de l’ère victorienne, dont les frontières sont menacées par des rebelles curieusement difficiles à tuer. Bien loin des combats armés, Nora, jeune aristocrate en crinoline, a un destin tout tracé : épouser un membre de la haute société et collectionner les robes de bal. Faire honneur à la mémoire de son père, l’éminent docteur Dearly. Rien, dans sa délicate éducation victorienne, ne l’a préparée à un violent kidnapping, ni à survivre dans le camp d’une faction rebelle. Et pourtant elle devra surmonter ses craintes et ses préjugés pour comprendre la nature du véritable danger qui menace les vivants… comme les morts. »
Journal, Anne Frank => chronique ici
« Anne Frank est née le 12 juin 1929 à Francfort. Sa famille a émigré aux Pays-Bas en 1933. À Amsterdam, elle connaît une enfance heureuse jusqu’en 1942, malgré la guerre. Le 6 juillet 1942, les Frank s’installent clandestinement dans  » l’Annexe  » de l’immeuble du 263, Prinsengracht. Le 4 août 1944, ils sont arrêtés sur dénonciation. Déportée à Auschwitz, puis à Bergen-Belsen, Anne meurt du typhus en février ou mars 1945, peu après sa sœur Margot. La jeune fille a tenu son journal du 12 juin 1942 au 1er août 1944, et son témoignage, connu dans le monde entier, reste l’un des plus émouvants sur la vie quotidienne d’une famille juive sous le joug nazi. »
Croc-Blanc, Jack London => chronique ici
« Fils d’une louve et d’un chien de traîneau, Croc-Blanc connaît bien la loi du Grand Nord : manger ou être mangé.

Sa rencontre avec les hommes, ces dieux faiseurs de feu sera décisive. Sous l’autorité de son premier maître, il devient chien de traîneau. Mais un autre maître, sanguinaire et brutal, l’engage dans de cruels combats et réveille sa sauvagerie. De l’instinct du loup ou de celui du chien, lequel l’emportera ? »

Le vieil homme et la mer, Ernest Hemingway => chronique ici
« Le roman met en scène deux personnages principaux : Santiago, un vieux pêcheur pauvre, et Manolin, jeune garçon tendre. L’histoire se déroule à Cuba, dans un petit port près du Gulf Stream.

Manolin accompagne Santiago à la pêche, mais ils n’ont rien pris depuis 84 jours. Les parents de Manolin qui trouvent que Santiago est « salao » ou « salado », c’est-à-dire malchanceux, décident qu’il embarquera sur un autre bateau, celui-ci ramène en effet trois grosses prises en une semaine!

Chaque soir Manolin voit le vieux revenir bredouille, cela lui cause une grande tristesse, il l’aide à remonter la barque, les lignes et le harpon. La voile, usée et rapiécée, roulée autour du mât, figure le drapeau en berne de la défaite. Le jeune garçon lui trouve de quoi manger et prend soin de lui, il a peur de le voir « partir », il n’est pas question de pitié, mais d’amour et de respect. »


La Belle et la Bête, Madame de Villeneuve => chronique ici
 » Le monstre se fit entendre.
Un bruit effroyable, causé par le poids énorme de son corps, par le cliquetis terrible de ses écailles et par des hurlements affreux, annonça son arrivée. En voyant approcher la Bête, qu’elle ne put envisager sans frémir en elle-même, la Belle avança d’un pas ferme, et d’un air modeste salua fort respectueusement la Bête. Cette démarche plut au monstre et, se retournant vers la Belle, il lui dit : « Bonsoir, la Belle ».

Au douzième coup de minuit, Eloisa James => chronique ici

« Réduite au rang de servante depuis la mort de son père, Kate vit sous le joug de sa belle-mère Mariana. L’odieuse femme va bientôt marier sa fille, Victoria, à un éminent parti, mais avant tout , la future épouse doit être présentée au prince Gabriel. Par un coup du sort, Victoria ne peut se rendre au château. C’est donc Kate qui est envoyée à sa place, déguisée en fiancée. Kate va rencontrer Gabriel, un prince aussi charmant qu’arrogant. Un prince pour qui son coeur vacille, mais que le destin s’acharne à lui dérober. Et si un baiser avait le pouvoir de tout changer ?

Et si les contes de fées existaient ? »

Il y en a beaucoup donc j’espère y arriver ! En avez-vous lu certains ? Qu’en avez-vous pensé ? 

8 commentaires sur “PAL de février

  1. Je suis justement en train de le lire…Lance-toi ça vaut la peine ! Essaie quand meme de trouver un résumé spoilant du tome 1 pour te remettre les personnages en mémoire (avec les changements de PDV il faut s'habituer) 🙂
    Bisous !

    J’aime

Répondre à Les lectures d'Eole Annuler la réponse.