Contemporain·Coup de coeur·Drame·Romance

Quand on n’a que l’amour, de Nick Alexander

TitreQuand on n’a que l’amour

AuteurNick Alexander

EditionAmazon Publishing

Pages411

Prix9,99€

RésuméCatherine était le grand amour de la vie de Sean. À sa disparition, elle lui a laissé une boîte remplie d’enveloppes, contenant chacune une photo et une cassette.

Ce sont des messages que Catherine a enregistrés peu avant sa mort : des souvenirs de leur couple mais aussi des pensées et des secrets qu’elle n’avait jamais partagés avec son mari. À mesure que Sean les écoute, il est de plus en plus mal à l’aise : sa femme a beau avoir choisi chacun de ses mots avec amour, ils sont aussi douloureux d’honnêteté – parfois douloureux tout court. De révélation en révélation, les certitudes de Sean vacillent : et s’il se trompait sur leur histoire et ce qu’il pensait être leur passé commun ?

Cependant, il ne peut s’empêcher d’espérer que les cassettes lui apporteront enfin la réponse à la question qu’il n’a jamais osé poser. Le destin existe-t-il vraiment ? Et si oui, Catherine et lui étaient-ils faits pour s’aimer ?


Mon avis : 

Alerte coup de coeur !

PS I love you fait partie de mes films préférés. Ici, j’ai retrouvé tout ce que j’avais aimé dans ce film, et plus encore. Car contrairement au film adapté du livre de Cecelia Ahern, ici, rien n’est larmoyant ou idéalisé. Sean et Catherine ont vécu 35 ans de mariage avant que Catherine ne décède, mais leur vie n’aura pas été toute rose et c’est ce qu’on va découvrir ici : leur vie, avec ses hauts mais aussi ses bas. Et en même temps que leur histoire, on découvre la vie de jeunes dans les années 1980 en Angleterre, la révolte contre Thatcher, les inégalités sociales, les soirées entre amis, la vie de jeunes parents et les petits boulots. 

Tant de choses m’ont fait aimé ce roman. En soi, il ne s’y passe pas grand chose de remarquable, c’est juste l’histoire d’un couple qui s’aime, malgré les blessures et les difficultés. On est loin de l’amour passion décrit dans la plupart des romans et c’est pour ça que je l’ai autant aimé je crois, c’est simple, beau et ça semble si réel…

On découvre Catherine au fil des cassettes, en même temps que Sean, et on l’aime autant qu’on la déteste en même temps que lui. En écoutant les cassettes, il fait son deuil petit à petit, il réapprend à vivre en apprenant à ne plus idéaliser celle qu’il a aimé et aimera toujours. C’est juste beau, je ne sais pas quoi dire de plus. 

Laisser un commentaire